l histoire ne se répète pas elle bégaie

Lhistoire ne se répète pas, mais elle se plagie. Jacques Deval (infos) pinterest; tweeter; partager; j'aime; 3 Thèmes de citations en rapport : histoire; Citations similaires : L'histoire des peuples dans l'histoire, c'est l'histoire de leur lutte contre l'État. Pierre Clastres. 8 L'histoire de France est faite de deux branches : l'histoire des conquêtes et l'histoire des réformes whatsappn'a pas trouvé de dispositif audio connecté ; papier stickers imprimante; fondue de carottes et courgettes. fondant chocolat vegan compote. j'ai pris 4 kilos en 2 jours. curry crevettes thermomix; plan maison avec côte; sauce 3 fromages italienne; louer un loft pour un anniversaire; soupe froide courgette curry; stéphanie antoine et son mari; législation note de frais; porte l'histoire ne se rÉpÈte pas elle bÉgaie" Cette phrase de Karl Marx ( ou qui lui est attribuée) peut être illustrée par cet extrait du discours d'investiture de Franklin Delano Roosevelt le 4 mars 1933 . Ça n'a pas pris une ride et ça peut parfaitement s'appliquer Laphrase : L'HISTOIRE NE SE RÉPÈTE PAS ELLE BÉGAIE" est attribuée à Karl Marx (D’après Internet) Si je n’ai la moindre envie de donner mon opinion sur cette assertion, je me demande si M. Sarkozy le déficit des administrations publiques qui ne doit pas dépasser 3 % du produit intérieur brut (PIB) ; – la dette publique comprise comme l’ensemble des dettes de l’Etat résultant des emprunts que ce dernier a émis ou garantis. Celle-ci ne doit pas dépasser 60 % du PIB ou doit se rapprocher de ce seuil. nonton how do you play sub indo. On ne change pas une équipe qui gagne Rockfeller – Gates 1918 – 1920 Grippe Espagnole / Méningite bactérienne Rockfeller – Gates 2019 – 2023 Covid – 19 et tous ses variants Istoria nu se repetă, ci se bâlbâie Nu schimbi o echipă câștigătoare Rockefeller – Gates 1918 – 1920 Gripa spaniolă / Meningită bacteriană Rockfeller – Gates 2019 – 2023 Covid – 19 și toate variantele sale History doesn’t repeat itself, it stutters Never change a winning team Rockfeller – Gates 1918 – 1920 Spanish flu / Bacterial meningitis Rockfeller – Gates 2019 – 2023 Covid – 19 and all its variants Stéphane Guibert / Rares Mihai Florescu Total des vues 112 , Vues aujourd'hui 2 Retour sur le dernier épisode de violences en Palestine. Celui-ci est survenu suite aux menaces d’expulsion de familles palestiniennes de leur logement au désormais célèbre quartier de Cheikh Jarrah au profit de colons israéliens. Selon Sylvaine Bulle, autrice de l’ouvrage Sociologie de Jérusalem, publié aux éditions La Découverte en 2020, ces actions sont l’œuvre de groupes d’entrepreneurs fondamentalistes religieux agissant au nom d’une idéologie raciste qui veut voir Jérusalem-Est redevenir juive et les Palestiniens en disparaître». Ce n’est pas bien étonnant quand on sait que, comme le dit l’historien Vincent Lemire Jérusalem avait été volontairement laissée de côté pendant le processus d’Oslo parce que les négociateurs considéraient que la situation y était inextricable. La longue parenthèse du ’processus de paix’’ étant aujourd’hui définitivement refermée, Jérusalem revient au centre des préoccupations des Palestiniens comme des Israéliens. Et ce, d’autant plus que la bataille démographique n’y tourne pas à l’avantage d’Israël, contrairement à ce que l’on pourrait penser 40% de la population de Jérusalem est aujourd’hui palestinienne contre 25% en 1967 ». Suite à ces menaces, des tensions éclatent sur l’esplanade des Mosquées, en Cisjordanie et dans les villes dites mixtes d’Israël. Affrontements, heurts, frappes de Tsahal contre roquettes du Hamas, escalade et appels à la désescalade… jusqu’au cessez-le-feu entré officiellement en vigueur le vendredi 21 mai, après une médiation égyptienne non sans un bilan macabre d’au moins 232 victimes palestiniennes, dont 65 enfants, et 12 israéliennes dont 2 enfants. Voilà un air de déjà vu, de déjà entendu qui revient... sans jamais avoir totalement disparu. Pour certains observateurs, le niveau de violence est comparable à celui constaté durant la deuxième Intifada entre 2000 et 2005, quand, pour d’autres, c’est le nombre de morts de 2014 qui sert d’agent comparateur. L’histoire ne se répète pas, elle bégaie. » Cette citation de Karl Marx, ou qui lui est attribuée, pourrait être opportune pour ce qui se passe actuellement en Palestine. Car si ces récents événements ont rappelé, en intensité ou en dégâts, de précédents faits, les réactions sont désormais légèrement différentes. ’L’éternel conflit israélo-palestinien’’. Voilà comment le qualifient certaines personnes maintenant. Ajoutez à cela un soupir d’exaspération ou d’ennui, à peine masqué, et vous aurez une image assez fidèle des effets que suscite bien trop souvent l’une des plus longues occupations de l’époque moderne. L’on pourrait aussi citer d’autres comme Mais voyons, ce n’est pas la seule guerre qui fait des ravages actuellement?», ou encore Et les Ouïghours, on en parle des Ouïghours?». Ma foi, pourquoi pas. Si l’on veut parler des Ouïghours qu’on le fasse. Néanmoins, opérer une hiérarchisation des malheurs pour ne pas avoir à regarder en face ce qui se passe est au mieux signe de bêtise, au pire d’une profonde hypocrisie. Tout simplement car, et c’est un secret de polichinelle, l’attitude dans le monde entier envers la Palestine a changé. Le nombre d’alliés, intéressés ou pas, s’est réduit comme une peau de chagrin. Israël a, plus que jamais, le soutien inconditionnel de l’Oncle Sam ; soutien savamment renforcé par Donald Trump. L’Union Européenne condamne quand elle parle mais n’a pas les moyens de ses ambitions, quand elle en a. Et, du côté des pays arabes, les Accords d’Abraham ont introduit une nouvelle donne que les signataires sont bien obligés de prendre en compte dans leurs déclarations. L’histoire ne se répète pas, elle bégaie. » Le territoire palestinien rétrécit à vue d’œil pour devenir un archipel divisé jalonné d’obstacles en tous genres par exemple, il faut compter 255 km de murs et 740 check points en Cisjordanie. Pas d’État, pas de monnaie, pas de passeport, des réquisitions des terres exploitables, des expropriations manu militari et des contrôles quotidiens. Voilà le lot de celles et ceux que l’on regarde désormais avec méfiance. Cette même méfiance qu’eux-mêmes manifestent envers leurs prétendus dirigeants, entre le Hamas et le Fatah, trop occupés à se livrer une autre guerre. Le dernier espoir d’organisation d’élections, dont les précédentes remontent à 2006, a été déçu par Mahmoud Abbas le 30 avril dernier qui a annoncé leur report à une date non déterminée. Officiellement parce qu’Israël n’autorise pas les Palestiniens et les Palestiniennes de Jérusalem à voter pas plus qu’il ne les a 15 ans plus tôt. Officieusement parce que le Hamas a toutes ses chances de remporter le scrutin. L’histoire ne se répète pas, elle bégaie. » Savez-vous ce qu’il y a de pire dans le bégaiement, en dehors du fait que c’est une lutte de tous les instants? C’est probablement de se sentir aussi prisonnier ou prisonnière de ses propres mots qu’incapable de s’extraire de leur spirale. L’histoire de la cause palestinienne bégaie… face à un monde qui s’est visiblement lassé d’attendre la fin de sa phrase. 16 août 1944. Alors que les Américains viennent de libérer Chartres, la foule en liesse hue onze femmes, tondues pour s’être livrées à la “collaboration horizontale” avec l’occupant. Parmi elles, Simone Touseau, 23 ans. Le photographe de guerre Robert Capa était là. Sur le trumeau du portail sud de la cathédrale de Chartres, le Christ enseignant » ne pouvait rien voir le chemin de croix de Simone Touseau se déroulait du côté nord. Mais il a probablement entendu les cris, les quolibets et les insultes. Témoin, qu’aurait-il pu enseigner d’ailleurs de ce mercredi 16 août 1944, qui vit les premiers chars américains entrer dans la ville et la foule partagée entre la joie et l’esprit de vengeance ? Dans la cour des communs de la préfecture d’Eure-et-Loire ont été regroupées des personnes soupçonnées de collaboration. Trois hommes sont rapidement exécutés et onze femmes sur dix-neuf livrées aux ciseaux pour être tondues. Le nombre aurait pu être plus important si un capitaine des Forces françaises de I’intérieur FFI, authentique résistant celui-là, ne s’était interposé pour mettre fin à cette outrageante justice expéditive. Parmi les tondues » figure Simone Touseau, 23 ans. Et à la différence des autres, elle a été marquée au fer rouge sur le front. Depuis la préfecture, une sinistre procession accompagne la jeune femme, sa mère, également tondue, et son père qui porte un baluchon. Autour d’eux, hommes, femmes et enfants savourent l’événement, remontent la rue du Cheval-Blanc, et parcourent les quelques centaines de mètres jusqu’au domicile des accusées. Soixante-seize ans plus tard, les rues sont identiques. Ce 23 novembre 2020, la rue du Cheval-Blanc est déserte, confinement oblige. La librairie La Procure a baissé le rideau de fer, un magasin Antiquité Librairie Galerie » au joli nom de Passeur de lumière » a porte close, un autre commerce affiche Bail à céder ». Et quelques mètres plus loin, une séduisante petite crêperie propose devant sa porte un hot-dog breton », cette galette-saucisse que quelques-uns parmi le million de visiteurs annuel qui se dirigent vers la cathédrale en temps ordinaire ont sans doute dégustée avec curiosité en cette place Jean-Moulin. Une immense peinture murale représente ce dernier coiffé d’un chapeau et le cou entouré d’une écharpe. Préfet d’Eure-et-Loir, il refusa, en juin 1940, d’accuser à tort des tirailleurs sénégalais d’un massacre de civils victimes de bombardements allemands. Il tentera de se suicider en se tranchant la gorge. Ce n’était que le début d’une destinée hors du commun. Quelque vingt mille femmes ont subi le même sort en France Les onze Chartraines tondues pour avoir fait la vie avec les Boches » devaient connaître son nom. Accusées de collaboration active ou de collaboration horizontale », cette forme de relation avec l’ennemi » dont la nature sexuelle est la marque d’une coupable infâmie, elles font partie des quelque vingt mille femmes qui ont subi le même sort en France entre 1943 et 1946. La tonte » à laquelle se livrent des coiffeurs professionnels ou des FFI de la vingt-cinquième heure » est alors, comme l’a expliqué l’historien Fabrice Virgili, la première violence exercée contre l’ennemi, ou plutôt contre celle qui l’incarne », par une partie de la population redevenue actrice » après avoir subi l’Occupation pendant quatre ans. Et comme ce fut déjà le cas lors de la Première Guerre mondiale, la nature sexuelle de la relation revêt une dimension symbolique et encourage tous les fantasmes. L’écrivain Louis Guilloux 1899-1980, à Saint-Brieuc, sera témoin de telles scènes de la Libération, qu’il relate dans ses Carnets des femmes dont l’une, la tête rasée, ressemble à une poire pelée », une autre avec une tête de bagnard ». Et partout la foule qui crie “Amour! Amour! ». Simone Touseau tient son bébé dans les bras. À sa droite, sa mère. Robert Capa / Magnum Photos De nombreux documents ont rendu compte de ces tontes » sauvages. Certains sont des photographies prises par des particuliers ou des soldats américains. Mais une photo semble les résumer toutes, celle saisie par le grand photographe de guerre Robert Capa 1913-1954, à Chartres, ce 16 août 1944. Dix jours auparavant, il a débarqué avec la première vague d’assaut du 116e régiment d’infanterie américain sur Easy Red, à Omaha Beach, Omaha la sanglante », et pris des clichés devenus légendaires dont onze, seulement, ont pu être sauvés d’un séchage intempestif en laboratoire. Après la longue bataille du bocage », il arrive à Chartres et, alerté par les cris de la foule qui se masse devant les grilles de la préfecture, il parvient à y pénétrer et à prendre en photo le groupe de prisonniers. Au moment où des FFI et une cohue de curieux escortent en riant la famille Touseau, Capa, insatisfait par les photos de dos, fonce pour se retrouver devant le cortège et commence à déclencher son Contax. En reculant encore, il prend le désormais célèbre cliché qui restera comme La Tondue de Chartres ». Simone Touseau, entourée d’un homme en uniforme et d’un autre en chemise blanche qui se prétend chef de la résistance policière », porte son bébé de trois mois dans les bras. En robe recouverte d’une blouse, elle est au centre de la photo, comme une pietà pécheresse. Elle ne regarde que son enfant, semblant ignorer les regards tendus vers elle et les sourires des autres femmes qui jouissent du spectacle. Le 4 septembre, le magazine La vie publiera le reportage Les Français retrouvent leur liberté» Les Français retrouvent leur liberté » avec sept photos, cinq de Ralph Morse, l’autre reporter arrivé avec Capa, et deux de celui-ci, dont la fameuse tondue ». Une enquête fascinante sur une photo iconique Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Dans un livre paru aux éditions Vendémiaire en 2011, Philippe Frétigné et Gérard Leray ont mené une fascinante enquête sur cette photo symbolique d’une forme d’épuration peu honorable. Au départ, explique aujourd’hui Philippe Frétigné, j’ai discuté avec Gérard Leray, professeur d’histoire-géographie et précieux connaisseur de la région et de cette période. Nous échangions simplement sur un élément du décor la grande porte entourée d’un portail de pierres à arc de style Renaissance où figure un blason représentant un griffon et devant lequel passe la foule en cette journée d’août 1944. La porte en question est celle de l’hôtel de Champrond, à l’époque étude notariale, qui fut jadis propriété d’un haut magistrat de Louis XIV, dont l’avarice aurait inspiré Molière pour son Avare, selon la légende. De fil en aiguille, nous avons finalement retracé l’histoire de la photo, celle des protagonistes, la sociologie politique de la ville et le contexte historique de l’époque. » La foule à hauteur de l’hôtel de Champrond. Devant Simone Touseau, son père, qui porte un baluchon. Robert Capa / Magnum Photos Les recherches menées dans les archives françaises et allemandes et les appels à témoins au moyen d’un site Internet les ont ainsi conduits à mieux cerner la personnalité et l’itinéraire de la tondue ». De faillites en liquidations, rongés par la frustration et la haine du Front populaire, ses parents étaient devenus au fil des années des commerçants déclassés, aux idées ouvertement d’extrême droite. Quand la guerre arrive, ils choisissent d’emblée leur camp. Simone, elle, a un caractère bien trempé. Bachelière, on la dit arrogante. D’ailleurs, elle ne cache pas ses idées politiques favorables au nazisme. Le voisinage fait aussi des gorges chaudes de son comportement, la traite de fille facile. Sa réputation trouve de nouveaux motifs de détestation quand elle devient interprète dans les services administratifs allemands, puis la maîtresse d’un soldat du Reich, Erich Göz. Bibliothécaire dans le civil, il tient la librairie militaire de Chartres. Envoyé sur le front de l’Est, il est ensuite blessé, et Simone se rend en Allemagne en 1943 pour le rejoindre. Une fois rétabli, il est renvoyé en Russie où il mourra en juillet 1944, alors que Simone, déjà enceinte, était rentrée à Chartres. Simone Touseau échappe de peu au peloton d’exécution Dans les derniers mois de 1944, les faits de collaboration reprochés aux femmes suivent une échelle de gravité avoir adhéré à une organisation collaborationniste et professé des opinions négatives contre la Résistance et les Alliés ; avoir touché de l’argent de l’occupant ; avoir entretenu des relations personnelles avec des membres des troupes d’occupation collaboration horizontale ; avoir été coupable de délation. Simone Touseau, qui a aussi adhéré au PPF, le parti collaborationniste de Jacques Doriot 1898-1945, coche donc toutes les cases sauf la dernière, la plus grave. Accusée dans un premier temps d’avoir dénoncé cinq voisins qui ont été déportés, elle évitera le peloton d’exécution, faute de preuves tangibles et grâce à l’habileté de son avocat qui a fait traîner la procédure. Elle ne fera que quelques mois de prison, sortira libre fin 1946 et sera toutefois condamnée à dix ans d’indignité nationale ». Dépressive et alcoolique, elle mourra en février 1966 à l’âge de 45 ans. Dans son appartement face à la cathédrale, Philippe Frétigné a tourné la page de cette histoire. Musicien dans l’âme, l’ancien professeur de philo est aujourd’hui facteur de clavecin et il mène des recherches sur l’histoire de l’art au XVIIe siècle. On est loin de la période trouble de l’épuration. Mais il ne peut s’empêcher de faire le lien avec aujourd’hui. Les cruels déclassements économiques et la précarité croissante d’une partie de la population peuvent aujourd’hui l’entraîner vers des partis fascisants qui exploitent la colère, la haine et la stigmatisation. Karl Marx n’avait pas tort quand il disait que si l’histoire ne se répète pas, elle bégaie. » The page you requested was not found. Bon, j’avoue, je n’ai pas pu résister, et je vous ai isolé ce passage de l'épisode de Capitalisme que j'ai vu hier, pour que vous compreniez bien que le parallèle est troublant. Tout l’épisode en question est ici, puisse la connaissance de l'histoire nous éviter les mêmes erreurs que dans le passé... En Grèce par exemple ... ou encore plus près de nous... ici en France... Encore une fois, l'étude du passé et de l'histoire de l'humanité pourrait bien constituer une piste majeure pour l'avenir... Si on ne vous les cache pas à nouveau.... Fraternellement, f. Informations complémentaires 6 juin 1944 ce qu’on ne vous dira pas... Mille milliards de dollars Le secret d'Adolf Jacob Hitler... Hitler était accro à la cocaïne Adolf Hitler, la Fraternité musulmane et les Palestiniens Hitler n’est pas mort en Allemagne ; Il a fui en Argentine selon des documents récemment déclassifiés du FBI Walter HALLSTEIN, un NAZI, 1er Président de la Commission Européenne... Histoire, guerres et famille Rothschild… Rockefeller, bankster, et compagnie... Le dossier Pegasus » John Perkins - L'histoire secrète de l'empire américain ZÉNITH 2016 partie 4 L’Amérique et le Troisième Reich Qui gouverne RÉELLEMENT la France La reprise aux États-Unis 55% des ménages américains ont une épargne insuffisante pour compenser un mois de revenu Master of the Universe – Confessions d’un banquier La France vend son patrimoine à des états plus endettés... L’argent cette GRANDE arnaque… [Hold-Up à millions d'€] QE comment la BCE se moque du monde ! Les collectivités locales françaises s'inquiètent de leurs emprunts indexés sur le franc suisse Philippe Béchade 12 novembre 2014 - BFM Business Il n’y a pas de croissance ni de hausse des profits. Tout n’est que mensonge ! » Philippe Béchade développe son point de vue quant à la Manipulation des Marchés Financiers Personne ne doit rien à personne la preuve Ph. Béchade CRISE MONDIALE Le Cartel des Banques a organisé toutes les crises économiques du monde ! » Russie-France ne pas oublier la lutte commune contre le fascisme Poutine Les faux sondages Marine Le Pen Washington pris la main dans le sac ! Marine Le Pen ne veut PAS sortir de l'UE préalable au GOUVERNEMENT MONDIAL Marine Le Pen, Cosette du Parlement européen ? L'Europe, la mise en place d'une dictature F. Asselineau Face à la dimension criminelle de la crise, les élites sont aveugles, incompétentes ou complices » Ce soir ou jamais vendredi 5 septembre 2014 Pourquoi avons-nous l’impression de vivre la rentrée la plus catastrophique de la Ve République ? » Étienne Chouard System failure, press a key to reboot...

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